Marie-Thérèse d’Autriche 1 717 à 1 780 :

 

 

 

 

Suite à la lecture de « Le pouvoir au féminin, Marie-Thérèse d’Autriche » d’Elisabeth Badinter, éditions Flammarion 2.016

 

 

 

 

Généralités :

 

Les états héréditaires des Habsbourg au XVIème siècle comptent la Basse-Autriche, la Haute-Autriche, la Styrie, la Carinthie, la Carniole et le Tyrol, s’y ajouterons la Bohème, la Moravie et la Silésie.

 

En 1.703 Léopold ler modifia la loi de succession afin, qu’en absence d’héritier mâle chez ses deux fils, l’aîné de Joseph puisse accéder au trône. Joseph succéda à son père en 1.705 pour décéder 6 ans plus tard de la petite vérole et son frère, Charles VI, monta sur le trône.

 

Au XVIIIème siècle la petite-vérole, ou varicelle, provoquait chaque année la mort d’environ 400.000 personnes en Europe.

 

A l’époque de Charles VI :

 

 Il épousa Elisabeth-Christine en avril 1.708 qui, selon Elisabeth Badinter, le soutint dans son gouvernement. Elle mit au monde Marie-Thérèse le 13 mai 1.717 alors que le premier né du couple, Léopold était mort à l’âge de 7 ans, le 4 novembre 1.716. Puis ne naquirent que des filles : Marie-Anne et Marie-Amélie. Elisabeth-Christine fut donc déclarée « inféconde », c'est-à-dire qu’elle n’a put enfanter de garçon atteignant l’âge de régner. Dans ce pays ou quasiment toutes les filles de la dynastie comporte le prénom de Marie sur leur état religieux, Marie-Thérèse eut une éducation presque totalement religieuse enseignée par des jésuites. Elle apprit également le latin, le Français, l’Italien et des bases d’espagnol. On lui enseigna le clavecin, le chat, la danse, le dessin et a apprit à jouer à la perfection la comédie, ce qui sera un atout lorsqu’elle arrivera au pouvoir.

 

Malgré l’approbation de la « Pragmatique sanction » approuvée par ses ministres, Charles VI, tout en admettant sa fille à son conseil dès l’âge de 14 ans, lui fit signer un document ou elle s’engageait à renonce à la couronne s’il advenait la naissance d’un garçon.

 

Marie-Thérèse épousa son cousin germain, François-Etienne de Lorraine, union qu’avait favorisé Charles dans l’espoir d’étendre son influence en Lorraine. Contrairement aux usages des royautés européennes, Marie-Thérèse, très éprise de son mari fit chambre commune avec lui. François-Etienne essuie jusqu’au décès de Charles VI de multiples humiliations que sont épouse tentera d’effacer une fois reine. En particulier, suite à la guerre de succession de Pologne Louis XV obtient lors des négociations, qui débutèrent en septembre 1.734, que la Lorraine revienne à Stanislas Leszczynski et Bar et qui échoira à la France après son décès. En Août 1.735, sur l’initiative de Charles VI, François-Etienne reçoit à titre de compensation le Grand-duché de Toscane après la mort du duc Jean-Gaston de Médicis, sans enfant, qui eut lieu le 9 juillet 1.737, seule condition pour qu’il soit accepté comme archiduc. L’accord, ou Louis XV reconnaissait en contrepartie la Pragmatique sanction, est ratifié le 13 avril 1.736.

 

Le 20 octobre 1.740 Charles VI meurt sans héritier mâle, d’un empoisonnement aux champignons.

 

Règne de Marie-Thérèse :

 

Suite à la disparition de son père Marie-Thérèse prend connaissance du délabrement des finances du pays. Dès le 22 novembre 1.740 Marie-Thérèse afin de mieux assoire son pouvoir déclare qu’elle gouvernera avec son époux qui est nommé co-régent, mais les décisions ne serons validés qu’après l’apposition de sa signature.

 

Avec le titre de co-régent, François postule au poste d’empereur du Saint Empire Romain Germanique, fonction plus honorifique qu’autre chose. Marie-Thérèse ne se présente pas car le poste d’empereur n’est pas ouvert au sexe féminin, de plus en Bohême les femmes n’ont pas le droit de voter pour élire l’empereur. Mais c’est l’électeur de Bavière, Charles-Albert (.1.742 à 1.745.) qui est élu empereur des Romains.

 

Marie-Thérèse allège le protocole et se montre chaleureuse et aimable. Au début elle conserve les vieux membres du conseil qui étaient au service de son père, mais ils se montrent incompétents. Marie-Thérèse prend alors comme conseiller le comte Emmanuel Silva-Tarouca, gouverneur des Pays-Bas et fils d’un ambassadeur portugais. Pour les affaires hongroises Marie-Thérèse s’attache le comte Pálffy qui est le président de la chambre des magnats. Elle s’appuie également sur le juriste Bartenstein. Elle accorde également sa confiance au comte Wenzel Anton von Kaunitz-Rittberg (.ou Kaunitz-Rietberg / 1.711 à 1.794.) qu’elle nomme chancelier en 1.753 après les négociation qu’il a menées lors du traité d’Aix la Chapelle. Le chancelier incita Marie-Thérèse à la centralisation des pouvoirs et tempéra comme il put ses intransigeances en matière de religion. Peut religieux il multiplia les maîtresses et se montra vaniteux et ambitieux. Kaunitz restera aux services de Joseph ll et de Léopold ll, mais sera remercié par François ll. Marie-Thérèse plaça aux finances Frédéric-Guillaume Haugwitz (.1.702 à 1.765.). Elle fit également appel à des femmes dans le but d’infléchir les décisions de leur époux ou de leurs proches sans succès notables, mais elle ne leurs confia aucun poste de pouvoir au sein de l’Autriche. Avec la centralisation qui se mit en place après 1.753 l’administration n’est plus dépendante des états, mais du pouvoir central ; et elle place la Bohême sous l’autorité du chancelier d’Autriche. L’on finit par l’appeler « l’impératrice », mais officiellement elle est restée reine de Hongrie et de Bohême. L’enseignement fut développé avec l’ouverture de nouvelles écoles et de collèges, sont créées des manufactures ainsi qu’un Directoire du commerce devant gérer les taxes douanières. Elle poursuivit la réforme de l’armée qui avait débutée en 1.748. Dès 1.752 avait été fondée une Académie militaire noble, qui fut toutefois ouverte aux bourgeois aisés, gérée par le général Daun. En 1.754 fut ouverte une Académie des ingénieurs ou les études s’orientèrent essentiellement vers la modernisation de la défense. Des millions de florins furent empruntés aux Provinces Unies. En décembre 1.760 Kaunitz créa un conseil d’état avec Daun, Haugwitz et Blümegen.

 

Marie-Thérèse aura eu 16 enfants dont 5 garçons et une de ses filles dénommée Marie-antoinette épousera de Louis XVI.

 

Selon Elisabeth Badinter, Frédéric ll entre en Silésie le 13 décembre 1.740 sans déclaration de guerre (.voir Guerre de succession d’Autriche 1.740 à 1.748 chapitre 32, Madame Badinter dénigre Frédéric ll, homosexuel et athée et encense la bigoterie de Marie-Thérèse qui persécuta chrétiennement les maçons, les protestant et les judaïsants alors que le Prussien accordait la libre pensée !.).

 

A cette époque l’Autriche a une dette d’environ 100 millions de florins et Marie-Thérèse se mit en quête de numéraire. De plus il faut signaler l’absence d’officiers compétents. Les trois généraux en chef : Neipperg, Wallis et Seckendorff étaient aux arrêts depuis leur débâcle face aux Ottomans et la médiocrité de leurs négociations de paix avec la Porte. Marie-Thérèse due se résoudre à les relaxer et en attendant la réorganisation de l’armée envoya le lieutenant général Browne avec seulement 6.000 hommes qui ne put entraver l’avance des Prussiens qui comptaient 25.000 soldats, sans compter que Frédéric ll avait soudoyé de nombreux responsables dont plusieurs membres du conseil autrichien. Marie-Thérèse s’était tourné vers Louis XV dès le 29 décembre 1740 qui attendit le 26 février pour refuser d’apporter son aide à l’Autriche. La Grande-Bretagne accepte en mai d’accorder une aide de 300.000 florins à Marie-Thérèse. Le 25 juin 1.741 Marie-Thérèse se fait couronner « roi » de Hongrie à Presbourg et refuse toutes négociation avec le Prussien. Le 10 août Frédéric ll s’empare de la capitale de Silésie, Breslau, et les Bavarois avec un renfort de 40.000 Français envoyés par Louis XV marche sur Vienne. De son coté le roi d’Angleterre qui était électeur du Hanovre, territoire voisin de la Prusse, jugea plus prudent d’ouvrir des pourparlers avec Berlin, plutôt que d’aider financièrement Vienne. Le 9 octobre 1.741 Marie-Thérèse signe l’accord de Klein-Schnellendorf (.ou Klein-Shnellendorf.) avec Frédéric ll.

 

Les Autrichiens finissent par refouler les Franco-Bavarois et s’empare de Munich le 24 janvier 1.742, jour ou l’électeur de Bavière est élu empereur à Francfort sur le Main. Lors des préliminaires de Breslau le 11 juin 1 774 Marie-Thérèse cède la Silésie à la Prusse, l’accord sera ratifié à Berlin le 28 juillet.

 

Alors que Frédéric ll poursuit ses manœuvres militaires, Marie-Thérèse ne parvient pas son époux à négocier avec Louis XV une alliance, car celui-ci a en tête de récupérer la Lorraine que les Français lui ont ravi. Cherchant une compensation l’Autrichienne envoie le prince Lobkowitz conquérir le royaume de Naples en 1.774 pour l’offrir à son époux, mais l’armée autrichienne s’enlise en Italie alors que les frontières du Nord sont dégarnies. Frédéric envahit facilement la Bohême et la Moravie et le prince Charles, frère de François-Etienne, subit de lourdes pertes en voulant franchir le Rhin.

 

 

 

L'empire Autrichien sous Charles VI / source Larousse sur le net
L'empire Autrichien sous Charles VI / source Larousse sur le net
La Prusse / source Larousse sur le net
La Prusse / source Larousse sur le net
Partage de la Pologne / source Larousse sur le net
Partage de la Pologne / source Larousse sur le net

 

 

Le 20 janvier 1.745 l’empereur Charles VII meurt d’une crise de goutte et François est élu empereur des Romains le 13 septembre et est couronné empereur le 4 octobre 1.745 à Francfort sur le Main.

 

Alors que François multiplie les liaisons amoureuses au grand dam de Marie-Thérèse, celle-ci esclave de sa bigoterie décide le 25 octobre 1.747 d’envoyer au couvant les femmes ayant des relations illégitimes et que les hommes perdraient leurs charge s’il en ont une au sein de l’empire, y compris pour les militaires ; les étrangers devront être expulsés. Et sont formés des commissaires de la pudicité publique. Le 26 mars 1.751 les femmes licencieuses sont déportées à Timisoara et en 1.752 le jésuite Ignace Parhamer, qui est le confesseur de François, est nommé président de la Commission de la chasteté. Le 1er mai 1.753 sont interdites les jupes courtes et les corsets qui mettent en valeur la poitrine. Dans la foulé elle persécute les hérétiques tel que les judaïsants de Bohême et les protestants de Hongrie.

 

Le Traité de neutralité de Westminster signé secrètement le 16 janvier 1.756 entre le roi de Prusse et la Grande-Bretagne fut vite ébruité dans les chancelleries européennes. En réaction Marie-Thérèse signa avec la France le traité de Versailles, d’assistance mutuelle en cas d’attaque par une autre puissance, le 1er mai de la même année, ce traité sera transformé en traité offensif le 1er mai 1.757. Par 3 fois Frédéric ll envoya son ambassadeur, Klinggraeffen, à Vienne pour sonder les intentions de Marie-Thérèse et lui proposer la paix. Suite au tergiversation de l’Autrichienne Frédéric prit l’initiative de l’offensive en envahissant la Saxe le 29 août 1.756, ce fut le début de la guerre de 7 ans (.1 756 à 1 763 / voir chapitre 32.).

 

Suite au coup d’état perpétré contre la régente Anna Léopoldovna – favorable à l’Autriche – par Elisabeth lère (.1.741 à 1.761.) de Russie le 6 décembre 1.741, Marie-Thérèse avait refusé de reconnaître la nouvelle tzarine, alors que cette dernière était courtisée par Frédéric ll. Toutefois les deux femmes se réconcilièrent et une alliance avec l’Autriche fut signée à Saint-Pétersbourg le 22 mai 1.746. Ce fut le chancelier Bestucheff qui parvint en 1.751 à convaincre la tzarine qu’une alliance avec la Prusse serait une erreur.

 

A la mort de son époux en 1.765, Marie-Thérèse prend définitivement le deuil et sa morosité devient chronique comme l’avait été son père, Charles VI. Son fils Joseph avait été élu empereur le 27 mars 1.764 à Francfort et prit ses fonction à la mort de son père et devint corégent d’Autriche, mais Marie-Thérèse garda les prérogatives du pouvoir. Le nouvel empereur se montre méfiant et hautain, radin et admirateur de Frédéric ll de Prusse. De plus, comme un bon chrétien de l’époque, il est misogyne. Il rencontra Frédéric ll à Neisse du 25 au 28 août 1.769, puis à Neustadt en septembre 1.770, mais cette fois en compagnie du chancelier Kaunitz dans le but de débattre du partage de la Pologne et de modérer les ambitions de la tzarine Catherine (.1.762 à 1 796 / voir chapitre 32 et le chapitre 33 Bis.). Les accords passés entre Frédéric ll et Catherine décident Marie-Thérèse à se rallier au principe du partage en décembre 1.771 et signe son engagement le 19 février 1.772.

 

A cause d’obésité, Marie-Thérèse devient difforme au cours de ses dix dernières années, elle devint impotente et son cœur bat la chamade aux moindres mouvements. Malgré sa bigoterie elle est de plus en plus dépressive et l’espérance en un dieu bon ne semble pas être efficace ! Joseph est pour la liberté religieuse, mais la bigote en a cure et reste droite dans ses bottes et réprime violemment les protestants de Moravie qui avaient osés à pratiquer des offices sans se cacher, et dire que des débiles affirment que les athées ne sont pas fréquentables, alors que dire des fanatiques religieux ?

 

Succession de Bavière : voir Autriche / Empire du chapitre 33.

 

 

Suite au coup d’état perpétré contre la régente Anna Léopoldovna – favorable à l’Autriche – par Elisabeth lère (.1.741 à 1.761.) de Russie le 6 décembre 1.741, Marie-Thérèse avait refusé de reconnaître la nouvelle tzarine, alors que cette dernière était courtisée par Frédéric ll. Toutefois les deux femmes se réconcilièrent et une alliance avec l’Autriche fut signée à Saint-Pétersbourg le 22 mai 1.746. Ce fut le chancelier Bestucheff qui parvint en 1.751 à convaincre la tzarine qu’une alliance avec la Prusse serait une erreur.

 

A la mort de son époux en 1.765, Marie-Thérèse prend définitivement le deuil et sa morosité devient chronique comme l’avait été son père, Charles VI. Son fils Joseph avait été élu empereur le 27 mars 1.764 à Francfort et prit ses fonction à la mort de son père et devint corégent d’Autriche, mais Marie-Thérèse garda les prérogatives du pouvoir. Le nouvel empereur se montre méfiant et hautain, radin et admirateur de Frédéric ll de Prusse. De plus, comme un bon chrétien de l’époque, il est misogyne. Il rencontra Frédéric ll à Neisse du 25 au 28 août 1.769, puis à Neustadt en septembre 1.770, mais cette fois en compagnie du chancelier Kaunitz dans le but de débattre du partage de la Pologne et de modérer les ambitions de la tzarine Catherine (.1.762 à 1 796 / voir chapitre 32 et le chapitre 33 Bis.). Les accords passés entre Frédéric ll et Catherine décident Marie-Thérèse à se rallier au principe du partage en décembre 1.771 et signe son engagement le 19 février 1.772.

 

A cause d’obésité, Marie-Thérèse devient difforme au cours de ses dix dernières années, elle devint impotente et son cœur bat la chamade aux moindres mouvements. Malgré sa bigoterie elle est de plus en plus dépressive et l’espérance en un dieu bon ne semble pas être efficace ! Joseph est pour la liberté religieuse, mais la bigote en a cure et reste droite dans ses bottes et réprime violemment les protestants de Moravie qui avaient osés à pratiquer des offices sans se cacher, et dire que des débiles affirment que les athées ne sont pas fréquentables, alors que dire des fanatiques religieux ?

 

Succession de Bavière : voir Autriche / Empire du chapitre 33.

 

Marie-Thérèse décéda le 29 novembre 1 780 à l’âge de 63 ans.

 

Environ un an après la mort de sa mère Joseph ll promulgua un édit de tolérance pour les protestants, puis pour les judaïsants, mais ces dernières restaient exclus de tous postes de l’administration.

 

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POUR ACCEDER A :

 

Atlas historique universel

 

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Selon Lucilio Vanini  (.ou Giulio Cesare Vanini / 1.585 à 1.619.) « l’homme pourrait descendre des singes »

 

 

 

Paul D’Holbach a écrit :

 

« O homme, ne concevras-tu jamais que tu n’es qu’un éphémère » !

 

&

 

Le christianisme c’est « un tissu d’absurdités, de fables décousues, de dogmes insensés, de cérémonies puériles, de notions empruntées des Chaldéens, des Egyptiens, des Phéniciens, des Grecs et des Romains ».

Il rejoint de La Mettrie en affirmant qu’il n’y a pas de liberté puisque la pensé n’est qu’un aspect de la matière.

 

 

 

Pour  Emmanuel Kant le devoir moral est un principe universel valable pour tous les humains et en toutes circonstances, c’est pour cette Raison qu’il préconise le rigorisme au détriment du pragmatisme et il dénonce ceux qui font le bien par convenance et plus particulièrement ceux qui font le bien par intérêt – il penser ici à ceux qui font le bien dans l'unique espoir de parvenir au Paradis et non pour répandre le bien - ce qui n’a aucun sens moral. L’Eglise catholique portera Kant à l’Index !

 

 

Remarque de l’auteur :

Selon Kant un bon chrétien mène naturellement une vie honnête et humain. Socrate posa la question :

« Est-il plus avantageux de paraître juste que de l’être vraiment » ?

Kant semble répondre 2.200 ans plus tard au philosophe grec en affirmant que ceux qui font le bien par crainte de Dieu sont de mauvais chrétiens car ils réfrènent, ou réduisent au maximum leurs perversités et leurs actes répréhensibles uniquement par peur de l’enfer, hors se sont ces mauvais chrétiens qui ont du mal à contrôler leurs bas instincts qui prétendent à qui veulent les entendre, que l’athéisme est la porte ouverte à toutes les dérives, hors

les athées n’ont pas de leçons à recevoir de ces êtres immondes

prêts aux pires exactions, qu’ils soient chrétiens, musulmans ou judaïsants.

 


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Voir le rapport 2 013 de l'IHEU

«Freedom of Thought

Report 2013 »

 

Les athées sont exécutés dans 13 pays musulmans et discriminés partout dans le monde, y compris en Europe !

 

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A lire :

La construction de Jésus

De Bart Ehrman

 

aux éditions H & O

 


Chez le même éditeur voir les autres ouvrages sur les religions

 

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