Gestapo, SS, Abwehr :

 

 

 

Additif rédigé après avoir consulté :

 

 

 

  • « La Gestapo ; atrocités et secrets de l’inquisition nazie » de Alain Desroches, éditions De Vecchi – Paris – 1.972

  • « J’étais garde du corps d’Hitler » de Rochus Misch / propos recueilli par Nicolas Bourcier, éditions Le cherche midi – 2.006

  • « Crime et trafics de la Gestapo française » de Jean Cathelin et Gabrielle Gray, éditions Historama – 1.972

 

 

 

 

 

Voir aussi le chapitre 38 & 39.

 

 

 

 

A gauche : l’Europe suite au traité de pais de 1.924 – A droite : Carte des minorités source de conflits

 

 

 

Prémisse du nazisme :

 

Au lendemain de la guerre de 14 / 18 les contre-révolutionnaire allemands ressuscitèrent la « Sainte-Vehme », une institution qui existait au Moyen-âge en terre germanique. Elle avait constitué des tribunaux secrets (.ou Vehmgericht.) afin de juger chrétiennement, c'est-à-dire sans aucune pitié, des actes tels que « crime » contre la religion, meurtres, parjure, trahison, diffamation, viol qui de nos jours, pour une bonne part, sembleraient anodin, voir légaux. Ces tribunaux s’inspirèrent des « Plaids », tribunaux judiciaires et politiques du haut Moyen-âge instaurés à l’époque carolingienne et qui ressurgirent en Westphalie à la fin du XIIème siècle. De nombreux prélats de la « sainte » église y siégeaient. Une seule condamnation était en usage : la pendaison en générale de nuit. La Sainte-Vehme perdit tout pouvoir sous Charles Quint, mais ne fut interdite que sous Jérôme de Westphalie, frère de Napoléon ler. Furent visés les communistes, mais aussi les sociaux-démocrates. L’on estime qu’entre 1.919 et 1.922 la Sainte-Vehme exécuta 376 personnes ; pour l’essentiel des leaders politiques, dont Erzberger qui avait signé l’armistice le 11 novembre 1.918. Les exécutants étaient des soldats qui obéissaient à leurs supérieurs, dont une bonne partie, deviendront plus tard des membres de la Gestapo. La presse, qui n’est pas toujours fiable, se félicitait que les bourreaux soient acquittés, ou aient été condamnés à de faibles pennes.

 

Pendant ce temps en Autriche, un dénommé Adolf Hitler se voit refuser ses peintures futuristes par des marchands juifs qui, pour la plupart lui riaient au nez ! (.La Gestapo ; atrocités et secrets de l’inquisition nazie  page 35.).

 

Parallèlement les autorités militaires considérèrent que les soldats avaient besoin d’une formation, aussi fut crée un « Cours de pensée civique », sorte d’école politique aux orientations anti-révolutionnaires. Cours que suivit avec la plus grande attention un certain soldat caserné à Munich et prénommé Adolf ! Et dès septembre 1.919 le département politique de l’armée demanda à Hitler d’infiltrer un petit parti ouvrier dirigé par Drexler portant le nom de « Parti des travailleurs allemands » et suspecté de gauchisme. C’est alors qu’Hitler adopta le pseudonyme de « Wolf » qui selon lui avait une vague filiation avec Adolf ; ce nom de Loup sera attribué aux Q.G. du Führer et dès 1.938 les usines Volkswagen réunirent plusieurs villages en une ville qui sera nommée « Wolfsburg » afin d’y loger les ouvriers du constructeur automobile. Un des membres de ce parti se nommait Hermann Gœring (.ou Göring.), un autre, ancien éleveur de poulet, se nommait Himmler. Devenu membre de cette formation politique, Adolf s’empressa de soumettre un programme d’action en 25 points et fit donner à ce groupuscule le nom de « Parti ouvrier allemand national-socialiste », en allemand : Nazional-sozialistsche deutsche Arbeiter Partei, soit le « N.S.D.A.P. » ; d’où l’abréviation « Nazi ». Membre dès 1.922 du parti Nazi, il était aussi un ancien militant des jeunesses catholiques : Joseph Gœbbels (.ou Goebbels / mon pape préféré, Benoît XVI a dit : « l’athéisme mène au nazisme » quel salop !.).

 

A compté de mars 1.923, le S.A. Klintzch est chargé de constituer une garde personnelle d’Adolf, la « Stosstrupper Hitler » qui fut placée sous la direction du chef d’état-major de la S.A., Pfeffer von Salomon qui est remplacé à la tête des S.A. par Ernst Rœhm (.ou Röhm.). La « Stosstrupper Hitler » est remplacée le 9 novembre 1.925 par les « Schutz Staffel », plus connus par l’abréviation « S.S. ».

 

Gœring et Himmler participèrent à Munich au putsch avorté d’Hitler du 8 novembre 1.923.

 

 

Minorités de l'empire Autro-Hongrois
Minorités de l'empire Autro-Hongrois

 

 

Mise en place du pouvoir nazi :

 

Hermann Gœring devint député de Prusse en 1.928 et épura la police de ce lander, puis devint président du Reichstag en août 1.932. En janvier 1.929 Hitler, en désaccord avec Pfeffer von Salomon, remplace ce dernier à la tête des S.S. – qui ne compte à cette époque que 280 hommes d’élites - par un homme dévoué au nazisme, Heinrich Himmler qui est nommé à cette occasion Reichsführer S.S. . Hermann Gœring signa le 22 février 1.933 un décret intégrant les membres de l’association paramilitaire crée après la guerre de 14 / 18 et devenue pronazie, les « Casques d’acier » - Stahlheim en allemand – aux S.A. et ces dernier furent par la même occasion reconnus auxiliaires de la police municipale. En l’absence de surveillance, l’incendie du Reichstag put avoir lieu dans la nuit du 27 au 28 février 1.933 par un exalté manipulé par les Nazis. Accusé de complicité, tous les chefs communistes furent arrêtés et expédiés dans un camp de concentration à Oranienburg-Sachsenhausen de la S.A., premier camp ouvert pour les opposants politiques. La police politique de Gœring, la futur Gestapo, est crée au Colombiahaus de la Papestrasse, une prison qui échappait au contrôle du ministre de la justice, Gürtner.

 

Les lois du 28 février et du 2 mars 1.933 annihilèrent les fondements de la république. Afin de mieux contrôler le Reichstag, suite aux élections du 5 mars, Hitler fit emprisonner ou interner les 81 députés communistes et fit voter par le parlement les pleins pouvoirs au chancelier le 23 mars 33. Et les parlements des landers furent remplacés par des préfets.

 

En mars 1.933 est crée la Stabswache, commando d’une trentaines d’hommes, pour sa garde personnel et qui deviendra la même année Leibstandarte-S.S. Adolf Hitler dirigée par Josef Dietrich.

 

Dès mars 1.933 Himmler est autorisé à ouvrir ses propres camps de concentration. Cette même année les tribunaux prononcèrent environ 4.000 condamnations pour crimes et délits politiques, en 1.934, 70.000, en 1.935, 85.000, en 1.936, 90.000. De 1.933 à 1.938, ce sont presque exclusivement des Allemands – 435.000 personnes - qui sont ainsi condamnés, ce qui prouve que tous les Allemands n’étaient pas des nazies. Cette terreur incita bien des personnes à cacher leur mécontentement.

 

Le premier avril les magasins tenus par des juifs sont boycottés et le 4 sont créés des tribunaux d’exception.

 

En accord avec le Führer, Gœring fit promulguer le 26 avril 1.933 le décret fondateur de la police secrète d’état la « die Gebeime Staattspolizei » dont l’abréviation est « Gestapo ». Et Gœring se fit seconder par Rudolf Diehls.

 

Le 2 mai les syndicats sont dissout, leurs dirigeants arrêtés, le droit de grève devient alors prohibé et est fondé le même jour par Hitler des camps de travail destinés à résorber le chaumage.

 

Le 14 juillet 1.933 le parti National-Socialiste devient le seul parti politique autorisé.

 

Toute puissance du parti Nazi :

 

En avril 1.934 Gœring cède la direction de la Gestapo à Heinrich Himmler. Le même mois, Himmler délègue à Reinhard Heydrich la direction de la Gestapo. Le décret du premier décembre 1.936 annule le concordat et toutes les organisations de jeunesse laïques et religieuse sont regroupées dans la « Hitler jugend » qui est dirigée par Baldur von Schirach. On leur inculque la délation, ainsi des mères et des pères furent dénoncés parleur progéniture.

 

Rœhm qui dispose de 4 millions de S.A. sème la terreur durant le printemps 1.934 et convertit les tièdes en faisant planer des menaces. Toutefois, l’extrémisme de Rœhm finit par inquiété Hitler qui souhaitait nuance sa « révolution ». Au début de l’été Rœhm réclame le ministère de la guerre, mais, ce dernier peu apprécié, décide Gœring, Himmler et Heydrich à comploter et faire croire au Führer que le chef des S.A. cherche à s’emparer du pouvoir. En découlera le massacre de la « Nuit des long couteaux », le 30 juin dont les massacres se prolongerons jusqu’au 2 juillet 1.934 provoquant la mort de 400 à 1.000 personnes selon les sources, don Rœhm.

 

Sur la demande d’Hitler le maréchal von Blomberg contresigne l’injonction de serment du Führer le premier août 1.934 et qui est « Je prête devant Dieu ce serment sacré d’obéir sans condition à Adolf Hitler, Führer du Reich et du peuple allemand, commandant suprême des forces armées. En brave soldat, je suis prêt à risquer ma vie à tout moment pour respecter ce serment » ! Est bien énoncé « Je prête devant Dieu ce serment sacré », et une ordure de pape, Benoît XVI, a osé dire que « l’athéisme mène au nazisme ?

 

En 1.935 est fondée le Service de sécurité du Reich (.R.S.D., ou S.D., ou D.S. / Sicherheitsdienst / service de sécurité du pari nazi.) , unité de police commandée par Johann Rattenhuber, qui compte un commando d’escorte, le Begleitkommando en complément du Begleitkommando Adolf Hitler dirigé par Rochus Misch.

 

Le 14 mars 1.935 Hitler violait le traité de Versailles en rétablissant en Allemagne le service militaire obligatoire et l’armée renonçait au nom de Reichswehr au profit de Wehrmacht.

 

Le 15 septembre 1.935 sont promulgués les lois de Nuremberg qui défissent la « préservation de la pureté de la race germanique ». De se fait il était interdit aux juifs de se marier avec des personnes chrétiennes, assimilés à la race arienne. Et de nouvelles mesures anti-juives sont adoptées en 1.936.

 

Le 23 juillet 1.934 le coup d’état programmé par Himmler et Heydrich à Vienne est un lamentable échec.

 

Avec la complicité d’émigrés russes la gestapo s’emploi à compromettre le Maréchal Mikhaïl Toukhatchevski, commissaire du peuple adjoint à la défense, qui est arrêté sur ordre de Staline le 23 mai 1.937, entraînant une purge de 7 officiers dans un premier temps et qui fut suivi jusqu’en 1.940 par l’élimination d’environ 30.000 officiers de l’Armée Rouge.

 

Faut pas des pays colonialistes, France et Grande-Bretagne : Suite à la conquête de l’Ethiopie en 1 935 / 1 936, par Mussolini, la SDN, don deux grands pays colonialistes en sont membre : la France et la Grande-Bretagne, décide d’imposer à l’Italie de multiples sanctions commerciales afin de mètre le pays sous embargo. Cette bévue sans nom décide le duce à se rapproche d’Hitler malgré ses réticences antérieures.

 

Des membres de la Gestapo s’étaient infiltrés en Autriche et avaient multiplier des liens avec des Autrichiens pronazis. Le 12 mars 1.938 l’Allemagne envahit l’Autriche, c’est l’Anschluss. C’est le début de la « Blitzkrieg » (.guerre-éclair.). Les troupes de la Wehrmacht étaient suivit d’Heinrich Himmler à la tête de nombreux véhicules de la Gestapo et des S.S. afin de pacifier les arrières ; cette méthode de répression sera appliquée dans tous les pays envahi par l’armée allemande. Le baron de Rothschild, bien que Juif, ne fut pas tué, mais pris en otage et fut réclamée à la branche anglaise du banquier le versement d’une rançon et tous ses bien en Autriche furent saisis.

 

Les Allemands et les Autrichiens, par un plébiscite, approuvèrent à 97 % l’ Anschluss.

 

L’Allemagne envahie la Tchécoslovaquie le 15 mars 1.939, la Pologne et la Roumanie s’opposèrent au passage de l’Armée Rouge sur leur sol, alors que Staline, lui-même, n’eu aucune envie d’intervenir. De plus, Varsovie était en mauvais terme avec Prague et accepta volonté quelques miettes du gâteau offert malicieusement par Hitler. L’adjoint de Reinhardt Heydrich, Karl Frank, ordonna dès le mois de juin l’arrestation de l’ « intelligentzia » tchèque : des hommes politiques – en particulier les communistes -, des journalistes, des hommes de lettres, etc…, et enfin pour pacifier le pays, fut organisé des tuerie, dont la plus sanguinolente fut celle de Lidice ou près de 2.000 personnes furent assassinées, ou déportées (.les massacres se poursuivirent ; il y eut environs 500.000 exécutions, 360.000 rien que pour l’année 1.944.). Reinhardt Heydrich, directeur du « Office central de la sécurité du Reich » (.R.S.H.A..), reçoit en plus le titre de « Vice-protector » de Bohême-Moravie en septembre 1.941.

 

Nous avons vu au chapitre 38 que le meurtre de Ernst von Rath par un judaïsant, un conseiller d’ambassade à Paris, blessé le 7 novembre, mais décédé le 9, est le prétexte d’un pogrom de « vengeance » dans la nuit du 9 au 10 novembre 1 938, Hitler précisa que les SS qui participeraient à l’action devraient être en civil et recommande que l’événement donne l’impression d’un mouvement spontané. Avec le concours d’Himmler – qui mobilisa les membres de la Gestapo, du S.D. (.Sicherheitsdienst = Service de Sécurité du parti nazi dirigé par Heydrich.) et de la S.S. -, Goebbels organise l’incendie des synagogues et du pillage de logements juifs ainsi que de plus de 8 000 boutiques, c’est la « Nuit de cristal », car il y eut beaucoup de bruit de verre cassé cette nuit là. Il y eut une multitude de pillages, plus de 100 morts, de nombreux viols de femmes juives et environs 30 milles judaïsants furent déportés à Dachau, Buchenwald et Sachsenhausen. Quelques jours plus tard le (.Reichsgesetzblatt.), journal officiel du N.S.D.A.P., publia les décrets qui imposaient à la communauté juive d’Allemagne une amande collective de un milliard de marks pour cause de désordre public et excluaient de l’économie allemande tous des individus de confession israélite. Alors qu’en octobre un peu plus du quart des Juifs allemands ont quitté le pays depuis 1 933, après la Nuit de cristal, Eichmann est chargé de l’émigration des judaïsants du Reich et du protectorat de Bohême-Moravie.

 

 

 

 

Il est a noté qu’un quart des israélites allemands avaient déjà quitté le pays ce qui prouve que cette communauté avait déjà été prévenue des intentions funestes du pari nazi. Donc si je me réfère aux dires de nombreux « Témoins de Jéhovah », les Juifs n’ont eu que ce qu’ils méritaient. Je m’explique : Après que Moïse soit dégringolé de sa colline et édicté à son peuple les dix commandements, prétendument révélés par Yahvé, don l’un est « tu ne tueras point », peu après, le dit Moïse et son frère Aaron, s’employèrent à massacrer tous les Hébreux qui étaient restés fidèles au culte du Veau d’Or : enfants, femmes et hommes. Plusieurs « Témoins de Jéhovah » m’ont avancé le même argument : Moïse avaient prévenus les adeptes du culte du Veau d’Or du danger qu’ils courraient en refusant de se convertir, donc comme ils ne s’étaient pas soumit au dicta du prétendu « prophète », ils ont eu ce qu’ils méritaient et furent ainsi massacrés ! Voici la logique monothéiste ! Donc si je me fit aux dires de cette sectes, je suppose que je peux penser qu’Hitler n’est pas plus criminel que Moïse, et j’attends avec impatience que les adeptes des mythes monothéistes – judaïsme, christianisme et islamisme inclus – reconnaissent à Moïse la même considération que l’on porte au Führer ! Pourquoi y aurait-il deux poids, deux mesures ? C’est fou comme j’aime les mythes monothéistes avec leurs exactions : Dieu qui nous a tous condamner à mourir pour un simple fruit croqué, Moïse dont je viens de mettre en relief les crimes, les croisades, l’inquisition avec ses tortures et ses exécutions digne du nazisme, les guerres de religions, les attentats islamistes, les tortures qu’infligent les Saoud d’Arabie aux blasphémateurs. Hitler se situe dans la suite logique des intolérances monothéistes voilà tout !

 

A plusieurs reprises Hitler confia à ses proches qu’après la guerre les églises chrétiennes n’auront pas leurs places dans la nouvelle Allemagne, mais il calmait les plus anticléricaux tels que Bormann et Goebbels et ne divulguait pas ses pensées afin d’éviter l’hostilité des pratiquants.

 

Suite aux sanctions de la SDN et malgré l’Anschluss, Mussolini finit pas conclure avec Hitler, qui a réussit à le rassurer au sujet du Tyrol italien, le « Pacte d’Acier » le 22 mai 1.939.

 

Le premier septembre 1.939 les troupes allemandes pénètrent en Pologne. Les groupements S.S. (.les unités « Tête de mort » Oberbayern, Brandenbourg et Thüringen sont déployées derrière les 10ème et 8ème armée pour « pacifier » et « nettoyer ».) et les membres de la Gestapo suivent le mouvement dans le but de respecter les directives du Führer : Le niveau de vie des Polonais doit être réduit au plus bas, car « nous voulons des esclaves à bon marché, et rien de plus » ! Il rajouta que « Tous les hommes capable de diriger la Pologne doivent disparaître ». Le 7 octobre Hitler place le « Reichsführer » S.S. à la tête du « Commissariat du Reich pour le renforcement de la nation allemande » (.R.K.F.D.V..) avec pour but de vider le territoire conquis de la « Vermine judéo-polonaise » avec l’arrière penser d’implanter des colons allemands en Pologne et le 9 octobre Himmler décréta l’expulsion de 55.000 Juifs et de 650.000 Polonais, action qui se fit en plein hiver. Est crée un « Gouvernement général » pour la Pologne le 12 octobre 1.939 et Hans Franck en fut nommé gouverneur général qui s’employa a rationner les Polonais à la limite de la famine. Himmler et Heydrich se chargèrent de la rafle des Juifs.

 

Les forces policières militarisées du Reich furent placées sous l’autorité d’Himmler, grand maître de l’ « Office central de la sécurité du Reich » (.R.S.H.A..) dont la direction sera été déléguée à Reinhardt Heydrich en 1.941. Et finalement se fut 1,5 millions de Polonais déplacés, dont 300.000 Juifs et remplacés par 497.000 Allemandes, principalement en provenance des pays Baltes. Le 21 février 1.940 le chef de la surveillance des camps de concentrations, l’Oberführer Richard Glücks, proposa à Himmler de fonder un nouveau camp au milieux de marécages à proximité du village d’Auschwitz. La Gestapo et les S.S. détournèrent le maximum de produit alimentaires et de combustible lors de l’hiver très rigoureux de 40 / 41.

 

Fondée en 1.925, la direction de l’Abwehr, service secret de l’armée, est confiée en 1.935 à Wilheim Canaris.

 

Depuis 1.935 la Gestapo et le S.D. avaient infiltré la France et stock de nombreuses données sur l’économie et les réseaux politiques du pays. Le principal pôle d’information et de recrutement de collaborateurs convaincu, ou soudoyés, était l’Office des chemin de fer allemands qui possédait des bureaux dans la capitale sous couvert de promouvoir le tourisme outre Rhin et soutenu financièrement par Gœbbels.

 

Jusqu’à lors il fallait, entre autre, mesurer au moins 1,78 m pour entrer dans les S.S. et la Leibstandarte-S.S. (.ou Verfügungstruppe fondée en 1.933 / garde personnel du Führer.), mais en décembre 1.938 Himmler assouplie les critères afin de pouvoir augmenter le nombre de ses effectif. Et par la même occasion furent crées 2 autres unités de 3.000 hommes chacune : Deutschand et Germania afin de compléter la Leibstandarte-S.S. (.une troisième unité, la Der Führer sera crée un peu plus tard.). Hitler possédait entre autre des aides de camp personnel dirigés par Wilhelm Brückner et qui sera remplacé par Julius Schaub en octobre 1.940.

 

Parce que la Pologne venait d’être envahie par les nazis, sans attendre Edouard Daladier déclare la guerre à l’Allemagne le 3 septembre 1 939, mais ne s’en prit pas à l’U.R.S.S. lorsque celle-ci attaqua la Pologne le 26 septembre 1 939 ? Quoi qu’il en soit, les Allemands attaquèrent le France. Hitler avait quitté Berlin le soir du 9 mai à bord de son train spécial, composé d’une quinzaine de wagons et baptisé « Amerika » (.à l’avant roulait un train de contrôle équipé de deux wagons. En cas d’alerte aérienne le train pouvait trouver refuge dans un tunnel. Une transmission téléphonique était possible avec la chancellerie, mais le train devait s’arrêter pour établir la liaison. Après le débarquement des alliés en Normandie le train sera rebaptisé « Train spécial Brandebourg ».), pour son Q.G. de l’Eifel, près de Münstereifel, baptisé (.Nid de roches / selon Rochus Misch le Q.G. près de la frontière franco-belge fut baptisée « Wolfsschlucht » / Ravin du Loup.) d’où il ordonna l’attaque éclair (.Blitzkrieg.) contre les Pays-Bas, la Belgique et la France. Les Ardennes jugés infranchissable étaient peu défendu ; hors c’est à cette endroit précis qu’Hitler ordonna d’engager les combats et le 4 juin 1.940 les Allemands passaient à l’attaque et arrivaient dans Paris le 9 juin.

 

En mars 1.940 Hitler ordonne à Himmler de créer la Waffen S.S., une nouvelle armée composée uniquement de volontaires, qui seront pour l’essentiel des non-Allemands et sans ascendant juif sur 3 générations (.Selon Nicolas Bourcier, La Waffen S.S. aurait été inscrit sur des documents officiels en novembre 1.939 et aurait absorbé, entre autre, la Leibstandarte-S.S..). Les recrutements permirent en avril 1.940 de constituer le régiment « Nordland » composée de volontaires norvégiens et finlandais, en juin est crée le régiment « Westland » composé de Néerlandais et de Belges flamands. En France fut fondée la division « Charlemagne ».

 

Le directeur de la Main-d’œuvre, Fritz Sauckel devait recruter plusieurs millions de travailleurs dans les territoires occupés. A l’automne 1.940 est mis en France le système des « Travailleurs volontaire » à qui l’on promettait un bon salaire. Afin d’éviter le chaumage qui finit par toucher 700.000 personnes en France et aussi suite au plan de la « relève » mis en place par Laval sous la pression allemande, en 1.942, il y avait 150.000 Français qui travaillaient dans les usines allemandes ou dans des exploitations agricoles.

 

Le 28 juin 1.940 Hitler se rend à Paris accompagné de deux camarades de la guerre 14 / 18, Max Amann et Ernst Schmidt.

 

En août 1.940 Hitler aurait tenté un rapprochement avec la Grande-Bretagne dans le but d’une collaboration contre le bolchevisme.

 

Lors de la guerre d’Espagne, alors que les Franquistes avançait vers Madrid, les républicains donnèrent aux Espagnols de Madrid qui les trahissaient le nom de « Cinquième colonne ». Ensuite cette appellation fut utilisée en France pour désigner les « collaborateurs » pronazi. Et l’on appelait la « Cinquième colonne » l’ensemble des collabos qui se montrèrent complice des Allemands. Le 3 octobre 1.940 est promulguée le « Statut Juifs » et la « France Libre » due s’aligner sur la loi nazie. S’en suivit un recensement des Juifs. Suite aux difficultés observées l’arrêté du 2 juin 1.941 obligea les Juifs de se faire recenser, même en zone libre. Dans la nuit du 2 au 3 octobre 1.941, 6 synagogues furent dynamitées dans Paris. La conférence tenue à Paris le 12 mars 1.942, et qui réunissait les représentants des polices allemandes de France, des Pays-Bas et de Belgique, imposa le port d’un signe distinctif et apparent pour les Juifs, la fameuse croix de David de couleur jaune, mais, là encore, rien de choquant puisque le roi « Saint » Louis, suivant l’exemple de la papauté, obligea le port d’une rouelle jaune pour les dit Juifs ; si le port de signe distinctif avait été si avilissant Louis IX n’aurait pas été canonisé ? Et la sainte église apostolique et romaine n’a jamais présenté d’excuse au peuple juif à ce sujet ! Autre argument que les adeptes des mythes monothéistes pourraient avancer : Lors de la sortie d’Egypte Dieu qui aimaient le peuple hébreux écarta la mer pour que Moïse puisse échapper à l’armée de Pharaon, il n’est pas envisageable par eux que le retrait des flots puissent être l’avant coureur d’un raz-de-marée suite à une éruption volcanique ou un séisme, c’est bien le divin qui permis ainsi le passage de ce peuple. Hors en 39 / 45, Dieu ne leva pas le petit doigt pour sauver au moins une centaine de Juifs, il laissa faire, preuve que Dieu, cette fois ci, considéra que l’holocauste – la « Choah » pour les Français – était une bonne chose, bordel de Dieu. Evidemment, faut-il encore croire en une divinité, de surcroît, prétendument bonne ! Car tous les mythomanes sont convaincus que Dieu est « Bon », pas un seul instant ils n’ont songé que Dieu pouvait être une belle ordure ?

 

A l’automne 1.940 fut recensé en France 160.000 Juifs en zone occupée et 200.000 en zone libre ou se trouvait le plus grand nombre de réfugiés provenant de Belgique, des Pays-Bas, du Danemark et même de Pologne. Dès cette année un certain nombre de judaïsants furent internés. Fut constitué le S.O.L., Service d’Ordre de la Légion chargé jusqu’en 1.942 de recruter des Français afin de les incorporer dans la Milice et dans la Waffen S.S.. Le mouvement déclaré « Révolution Nationale » pronazi reçu le soutien des adversaires de la république française dont des membres du haut clergé (.voir La Gestapo page 504 / le sous-homme Benoît XVI a pourtant affirmé que l’athéisme mène au nazisme, l’ordure !.), certains milieux financiers et industriels (.dans « Crime et trafics de la Gestapo » l’auteur précise que certains collaborateurs haut placé bénéficièrent d’un passe-droit étonnant non ?.) et certains cadres de l’armée ralliés au régime de Vichy.

 

Le 18 décembre 1.940 le général Wilheim Keitel, chef du commandement suprême des armées (.O.K.W..) communique aux chefs de corps d’armée la directive 21 du Führer : « L’Union Soviétique doit être anéantie par une campagne foudroyante ». Et Leningrad devait être rasée.

 

En Pologne fut constitué vers la fin de 1.940 le « ghetto de Varsovie » dans le vieux quartier de la ville ou furent séquestré dès le départ 400.000 Polonais de confession israélite. Dès l’automne 1.939 tous les hommes valides avaient été réquisitionnés afin d’édifier une enceinte haute de 2,5 mètres surmonté de barbelés et d’une longueur de 15 km. Le nombre des déportés y augmenta rapidement et la famine se généralisa car le gouverneur, Hans Frank, veillait au rationnement. Fut constitué dans ce ghetto une police juive bénéficiant de quelques avantages afin d’assurer la répression de leurs frères de confession. A la fin de 1.941 le ghetto comptera 500.000 détenus. Bientôt Himmler considéra qu’il n’y avait pas suffisamment de décès dans ce quartier.

 

Suite au départ de Rudolf Hess dans la nuit du 10 au 11 mai 1.941 en Grande-Bretagne (.afin de ne pas se faire descendre par la DCA allemande, Hess avait obtenu du pilote même d’Hitler, Sepp Plattzer, les codes des cartes d’état-major précisant les heures de « zones mortes » nécessaires pour le passage de certains vols.) pour y négocier sans le consentement du Führer (.Hitler apprit la nouvelle alors qu’il venait d’arriver dans sa maison de Berchtesgaden, après avoir fait un discours au Reichstag ou il annonçait « Une grande année de conquête ».), juste avant le déclanchement de la campagne de Russie. Dès l’après-midi le Führer organisa une grande réunion et nomma Martin Bormann à la direction du N.S.D.A.P. en remplacement de Hess et une épuration de grande envergure fut faite dans l’entourage du fugitif, ainsi que des astrologues et devins fréquentés jadis par Hess dans les semaines qui ont suivi.

 

Le 22 juin 1.941, sans déclaration de guerre, Hitler fait envahir l’URSS par 3 millions d’hommes. La campagne de Russie devait durer 8 semaines, de ce fait, les armées ne furent pas équipées de vêtements chauds pour l’hiver russe. Au début de nombreux Ukrainiens reçoivent les Allemands en libérateurs. Mais Hitler lance une croisade antibolchévique. Le Reichsführer Himmler est chargé de former des détachements spéciaux du S.D. et de la S.I.P.O., appelés « Einsatzgruppen » (.groupes spéciaux de combat.), qui à la suite des troupes de la Wehrmacht, devaient exécuter sur place les commissaires politiques, les Juifs, ainsi que tous ceux qui se montreraient peu enclin à accepter la présence allemande. Et comme il n’est pas question que les slaves se reproduisent les prisonniers pour le travail obligatoire sont stérilisés d’office. Ces prisonniers devaient travailler comme esclave toute leur vie « pour la race des seigneurs allemands ».

 

Dès juin 1.941 Himmler désigna Adolf Eichmann pour prendre la direction de l’ « Einsatzgruppe D » afin d’éradiquer la « vermine juive » et commencèrent les rafles dans l’ancienne partie occupée par les Soviétiques, puis en U.R.S.S. même, ainsi y furent raflées 90.000 personnes dont une large majorité était judaïsante.

 

En mai 1.941, Heydrich s’était arrangé pour que le chef des opérations sur le front de l’Est, le maréchal von Brauchitsch, laisse carte blanche aux troupes ,d’Himmler pour la pacification du territoire soumis par la Wehrmacht et éventuellement, si nécessaire, les aider dans leur actions répressives. La directive d’Hitler du 27 juillet 1.941, contresignée par Keitel, ordonne à Himmler d’assurer le maintien de l’ordre sur les arrière des troupes, ainsi fut mis sur pied des « Einsatzgruppen » (.Groupes de combats / il avait été crée déjà l’équivalant suite à l’invasion de la Tchécoslovaquie.) composés de S.S., d’éléments de la S.D. et de la SIPO.. Hitler négligea l’avantage qu’il aurait pu tirer de nombreux soviétiques qui voyaient dans les Allemands les libérateurs du joug stalinien ! Hors Himmler fit fusiller une multitude de prisonniers soviétiques dès les débuts de l’invasion, sans compter ceux qui mourraient de faim ou de froid. A deux reprises le commissaire soviétique aux affaires étrangères, Viatcheslav Molotov, adressa des protestations au sujet de ce carnage, mais en vain. Himmler se faisait une gloire d’avoir exterminé 33.771 personnes dont une forte majorité de Juifs dans Kiev les 29 et 30 septembre 1.941. Il est vrai, que l’Ukraine comptait une grande quantité de Juifs suite aux déportations perpétrés par l’antisémite Nicolas ll qui les avait expulsé de Russie, un bon chrétien lui aussi ; ce peuple opprimé par le tzar fut très actif lors de la révolution de 1.917 !

 

En juillet 1.941 est créé la légion française « antibolchevique » et qui prendra quelque temps plus tard le nom de « Légion des Volontaires Français » (.L.V.F..), pour aller combattre sur le front Est.

 

Au cour de l’hiver 41 / 42, l’opération Todt entrepris dans la forêt de Rastenburg, en Prusse orientale, la construction du blockhaus et des baraquements pour abriter le nouveau quartier général d’Hitler baptisé « Wolfschanze » (.Repaire du Loup.).

 

A partir du printemps 1.942 le chef de l’Einstzgruppen D, Otto Ohlendorf, « perfectionna » l’exécution des enfants et des femmes juifs afin de ménager les nerfs des exécutants, il s’agissait de roulotte à gaz.

 

Le 14 août 1.941 le gouverneur militaire de Paris, Otto von Stulpnagel, fait placarder des avis déclarant que tous activistes communistes sera puni de la peine de mort. Dès le 17 août 1.941, la Gestapo offre une forte prime à ceux qui dénonceraient les auteurs d’attentats contre les transports ferroviaires. Le 20 août 1.941 une première grande rafle eut lieu à Paris et en décembre furent internés l’élite israélite : avocats, juristes, journalistes, lettré, mais aussi médecin, savants, etc…

 

Le 20 janvier 1.942 est décidé de la « Solution finale », afin de régler la « question juive, lors de la conférence de Wannsee

 

Laval en plus de la présidence du conseil de la France « Libre », reçoit en avril 1.942 les ministères de l’intérieur, des affaires étrangère et de l’information. Reinhardt Heydrich se rend à Paris au début du mois de mai et installe le général Karl Oberg aux commandes de la police allemande, de la Gestapo et des S.S. en France – il gagnera le surnom de « Boucher de Paris ».

 

En juin 1.942 est décidé de déporter en Allemagne 100.000 Juifs français et l’on exigea que Laval expulse tous les Juifs non Français de la zone « Libre », sous le faut prétexte de créer un état juif libre dans la région de Cracovie. Oberg décida que seules les forces de police et de la gendarmerie française procédera à l’arrestation des Juifs à Paris dans la nuit du 15 au 16 juillet 1.942. Ce fut la rafle dite du « Vel d’Hiv ». Je suis fort étonné que la rafle du « Vel d’Hiv » provoqua autant de ressentiments alors que j’y trouve une belle similitude avec la rafle des Hébreux restés fidèles au culte du Veau d’Or et de leur massacre ordonné par Moïse et son frère Aaron, provoquant, selon la « Saint Bible », le massacre de 23.000 personnes, enfants, femmes et hommes, ce qui, pour l’époque représente un beau carnage ! Je n’ai encore jamais entendu un haut responsable du judaïsme, du christianisme ou de l’islam déclarer que Moïse avait été auteur de « Crime contre l’humanité » ? Pourtant je suis convaincu qu’Hitler mérite les mêmes respects que Moïse, ou inversement ! Il est vrai qu’un athée comme mois est mal placé pour juger Moïse ? Quoi que ?

 

Fin juin 1.942 Hitler décide d’avancer son Q.G. en Ukraine dans la région de Vinnits (.ou Vinnitsa.) à 200 km au sud de Kiev baptisé « Werwolf » (.Loup garou.) et il s’y rendit pour la première fois le 16 juillet.

 

Le 4 juin Heydrich décède de la suite de ses blessures, ce qui a réjoui Himmler qui voyait en lui un rival, et qu’il a toujours considéré qu’Heydrich avait du sang Juif ! S’en suit encore une épuration dans l’entourage de ce gêneur. Le nouvel adjoint d’Himmler qui succéda à Heydrich en décembre 1.942, Ernst Kaltenbrünner, est presque un inconnu des personnes ne côtoyant pas le Reichsführer S.S.. Ce dernier est pour un rendement efficace et estima en janvier 1.943, que les nouvelles chambres à gaz devraient contenir 2.000 personnes ; son vœux sera exhaussé à Auschwitz. Dans ce camp 2 médecins étaient chargés de sélectionner ceux qui étaient apte au travail, les autres, y compris tous les enfants, étaient dirigés vers les lieux d’extermination. Afin d’adoucir l’acheminement des condamnés vers les chambres à gaz, avaient été sélectionnés certains Juifs qui s’étaient portés volontaires, et qui, en yiddish, s’adressaient à leurs frères de « races » pour diminuer leurs craintes et faciliter leurs entrées dans ces dites chambres à gaz. Himmler choisit pour la « Solution final » le commandant Wirth qui avait fait ses armes dès 1.940 dans l’extermination secrète et systématique des aliénés et des handicapés physiques. Parallèlement, Himmler avait nommé Haupststurmführer S.S., le docteur Josef Mengele, pour organiser diverses expériences sur une multitude de cobayes humains.

 

Le S.O.L. est séparé de la L.V.F. pour devenir « Milice Française » qui est placé sous l’autorité « virtuelle » de Pierre Laval.

 

Les derniers mois de 1.942, Hitler en restant dans son Q.G. de Rastenburg, assurait de moins en moins ses fonctions de chancelier, ce qui ne cessait d’inquiéter Goebbels.

 

Agonie des Juifs ainsi que du régime nazi :

 

Bien que le maréchal Fridrich Paulus préconise un repli stratégique, Göring convint Hitler qu’il faut à tout pris rester sur les rives de la Volga pour couper l’accès aux ressources pétrolières de la Caspienne à Staline ; hors le 31 janvier 1.943 Paulus à la tête de la VIème armée, encerclé, est acculé et capitule devant les Soviétiques qui désarment les Allemands devant Stalingrad le 2 février.

 

En février 1.943, suite aux attaques dévastatrice des chasseurs-bombardiers britanniques, Himmler décide de faire ses réunions de « travail » dans les sous-sols d’un building au 116 de la Kurfürstenstrasse ou était aménagé un bunker.

 

En février 1.943 le général Heinz Guderian constate qu’Hitler avait vieilli, avait des difficulté à trouver ses mots et avait la main gauche qui tremblait et en mars, Göring constata que son Führer avait vieilli de 15 ans depuis le début de la guerre.

 

Suite aux difficultés de la Wehrmacht devant Stalingrad, les effectifs furent réduit en Pologne et les S.S., au début de l’année 1.943 eurent de plus en plus de difficultés à gérer le ghetto de Varsovie ou les résistants polonais avaient réussi à procurer armes et munitions aux Juifs et il fallu un bon mois, au lieu de 3 jours escomptés, pour réduire les 60.000 derniers occupants en mai.

 

A partir de 1.943 Hitler s’installe à Berlin dans l’ancienne chancellerie du Reich. Il y fit construire le Führerbunker dont la réalisation dura 2 ans.

 

Certains officiers allemands, comme le maréchal von Kluge, plus ouverts que leur Führer, constatèrent que l’héroïque général soviétique Andréi Andreievitch Vlassov qui avait été fait prisonnier, était un antistalinien et qu’il pourrait être un rassembleur pour former une unité russe active contre l’U.R.S.S., hors Hitler refusa toutes implications de cet officier renommé sur le front Est alors que son appel orchestré par certains responsable de la Wehrmacht avait provoqué la désertion d’un certain nombre de soldats soviétiques ! Mais suite au repli des divisions allemandes sur le front Est en 1.943 est finalement constitué une unité Vlassov au service du Reich constitué de 800.000 soviétiques, dont 600.000 Hiwis, division constitué exclusivement de prisonnier russe entraîné à la façon des Waffen S.S.. Le 10 mai 1.945 Vlassov tombera entre les mains des Soviétiques et sera pendu avec 11 de ses soldats en août 1.946.

 

Le 28 septembre 1.943 le premier commando prétendument français pénétrèrent dans l’ancienne zone dite « Libre ». Il était composé d’agents de la Gestapo, de l’Abwehr et de l’ « ORPO » (.Ordungspolizei / Police de l’ordre public.) tous munis de faut papiers attestant de leur nationalité française. En plus de la recherche de résistants, ces commandos se lancèrent à la recherche des Juifs réfugier dans les zones d’occupation italienne tel que la Côte d’Azur ainsi que les Hautes et Basse Alpes, car les autorités italiennes n’avait en aucun car cherchés à pourchasser les judaïsants.

 

Afin de simplifier les exécutions de « traites » au régime, Hitler remplaça l’exécution par décapitation par la pendaison, mais du fait que les gibets étaient inexistants l’on fit appel à des crochets de bouchés – des « S » - que l’on suspendait à des rails de trains afin d’y accrocher les cordes des condamnés.

 

L’Abwehr, qui comptait environs 3.000 officiers, était dirigé par l’amiral Wilhelm Canaris (.désigné en 1.935 par le Führer pour remplacer Patzig jugé trop tiède vis-à-vis du régime.), secondé par le colonel Hans Oster qui sont devenus très rapidement antinazi et pratiquèrent le « double jeu » peu de temps avant l’invasion de la Pologne. Oster avertit l’attaché militaire des Pays-Bas, Jakobüs Sas de l’imminence de l’invasion du Danemark et de la Norvège, mais averti, les autorités du Danemark considérèrent l’info comme fantaisiste. Se succédèrent ainsi des fuites d’informations classées secrètes. Canaris avait également prévu l’élargissement de Juifs vers la Suède. Hors, la Gestapo finit par avoir des doutes. Une première rafle en avril 1.943 avait décimé les rangs de l’Abwehr et Canaris avait convaincu Himmler d’une certaine retenue pour éviter un scandale. Mais suite à un transfuge de l’Abwehr vers la Grande-Bretagne, Hitler ordonna la dissolution du service en février 1.944 et ordonna à Himmler d’organiser un nouveau service d’espionnage. Séquestrés, Canaris et Oster furent pendu le 9 avril 1.945.

 

Le 10 juin 1.944 une compagnie de la division S.S. das Reich, dirigée par Lammerding, entre dans Oradour-sur-Glane ou était sensé se trouver des résistants et un stock de munition. Tout le monde connaît la suite… A la même époque, Hitler décide d’envoyer au front ses « baby-Divisionen », composées d’adolescents de 15 à 16 ans.

 

En 1.944 de nombreux officiers supérieurs pensent qu’il est temps de renverser Hitler tout en continuant de combattre l’armée soviétique. Le 15 juillet Rommel écrit à Hitler : « Nos troupes combattent partout héroïquement. Toutefois – il est de nom devoir de vous en avertir – le combat touche à sa fin. Je dois donc vous prier de tirer immédiatement les conséquence qui s’imposent ». Le 17 du même mois Rommel est grièvement blessé par l’aviation britannique et restera hospitalisé plusieurs mois. Depuis 1.942 l’Abwehr était informé de l’existence d’un réseau antinazi nommé « Rote Kapelle » (.Orchestre Rouge.), mais qui ne recrutait pas exclusivement dans les milieux prolétaires, d’ailleurs cette organisation était dirigé par un aristocrate, Harro Schulze-Boysen. De nombreuses informations militaires et politiques furent transmises aux Soviétiques qui décidèrent d’envoyer en Allemagne des agents secrets.

 

C’est dans le G.Q.G. nommé « Wolfsschanze » (.Repaire du Loup.) dans la forêt de Rastenburg en Prusse Orientale, que devait se dérouler l’opération « Walkyrie ». Claus von Stauffenberg pénétra dans le bunker avec une bombe le 20 juillet 1.944 et l’explosion eut lieu à 12 heures 42. Mais Hitler s’en sorti avec quelques brûlures bénignes, une déchirure aux tympans et quelques écorchures aux bras et au front. Sur les 24 personnes présentes – Stauffenberg avait trouvé une excuse pour sortir avant l’explosion – seulement 4 personnes décèderons des suites de leurs blessures. Averti par Gœbbels, le maréchal Keitel averti le Führer qu’un groupe d’officiers avaient diffusé l’information du décès d’Hitler et que des troubles avaient éclaté dans Berlin. Hitler nomma alors son fidèle serviteur, Himmler, chef de l’armée de l’Intérieur, en remplacement de l’hésitant général Friedrich Fromm, afin de mieux réprimer les insurgés. Les officiers de Berlin avaient en effet hésité entre se soulever et mater les manifestations avant d’être certain du décès du Führer, hors leurs hésitations, Hitler ne leurs pardonnera pas. En France la révolte des officiers fut plus efficace, mais inutile ; ainsi le gouverneur de la France depuis 1.942, Karl Heinrich von Stülpnagel pour éviter d’échappé à ses bourreau fait une tentative de suite, hors dans son agonie à l’hôpital il fait appel à Rommel lors de ses délire, ce qui va être fatal pour l’officier le plus vénéré par les Allemands. Stülpnagel ainsi que de nombreux officiers allemands de Paris seront pendus. Les exécution et décès sous la torture provoqua 57.000 victimes, hommes, épouses et enfants compris. Les jugements et exécutions furent filmés et projeté aux membres de la Wehrmacht en guise d’avertissement. Ceux qui prononcent des propos défaitistes doivent se méfier des dénonciateurs, ainsi eut-ils encore de nouvelles pendaisons. Quand à Rommel, afin de sauver sa famille accepta de se suicider, mais on lui fourni une capsule de cyanure insuffisamment doser et le héros agonisa pendant 20 minutes. Suite à cet attenta, tout les aliments destinés au Führer furent soigneusement examinés par un laboratoire S.S..

 

En Août 1.944, encerclés par les Allemands, les résistants polonais firent des appels à l’aide aux Soviétiques, mais Staline fit arrêter l’offensive de ses troupes dans le seul but de laisser disparaître toutes forces capables d’entraver ses ambitions politiques.

 

Le 10 décembre 1.944 à l’aide de son train spéciale se rendit dans un nouveau Q.G. à Ziegenberg, au nord de Francfort, ce nouveau bunker fut baptisé « Adler Horst » (.Nid d’aigle.). Le 16 décembre la contre-offensive lancée dans les Ardennes échoua devant Bastogne et les 7 et 8 janvier 1.945 Hitler ordonna le repli des panzers. Le 12 janvier les Soviétiques lancèrent une redoutable offensive sur le front Est.

 

En 1.945 Hitler devis paranoïaque et se méfiait de tout le monde et n’admettait plus aucune contradiction. Le 20 mars, suite à son échec en Poméranie, Himmler est démis de son commandement du groupe d’armées Vistule et le 28 mars le général Guderian, l’un des derniers à apporter quelques contradictions aux propos du Führer est congédié. Le lendemain c’est au tour du chef de presse Otto Dietrich est remercier. Bien d’autres personnes finir par décevoir le dictateur. Dans la seconde moitié de mars Hitler s’installe définitivement dans le Führerbunker de Berlin avec son chien Blondi, 3 secrétaires, l’agent de liaison avec Himmler, le général de division S.S., Hermann Fegelein qui avait épousé la sœur d’Eva Braun, Hans Krebs, dernier chef-major général des armées et son aide de camp, le major Bernd Freytag von Loringhoven, le chef de liaison de la marine, l’amiral Hans Erich Voss, le pilote d’Hitler, Hans Baur, le Q.G. de Wilhelm Mohnke chargé de la défense de la capitale, etc….

 

Les « Alliés occidentaux » envoyèrent un message à Hitler lui demandant de résistent encore 2 à 3 semaine afin de bloquer l’avance des Soviétiques qui s’étaient infiltrés trop rapidement en Allemagne selon leur goût ! Hitler répondit au porteur du message « Qu’est-ce que cela veut dire ? La guerre est de toute façon perdue ! Ils auraient dû peut-être y réfléchir avant » !

 

L’état d’exception est instauré à Berlin le 20 avril. Suite à la prise de l’aéroport de Gatow par les Soviétiques, les lampadaires de l’avenue Unter den Linden furent déposés afin de permettre à des avions de se poser dans Berlin. Le 23 avril 1.945 Göring est accusé de trahison et fut placé en résidence surveillé à Berchtesgaden et fut remplacé à la tête de la Luftwaffe par Robert Ritter von Greim. Vers le 27 avril furent distribués des ampoules de cyanure ou d’acide prussique aux proches d’Hitler, par lui-même, et le docteur Ludwig Stumpfegger en distribua au personnel qui le voulait bien. Le 28 avril, par l’intermédiaire de l’agence britannique Reuter, Hitler apprit qu’Himmler avait ouvert des négociations avec les Allés occidentaux en vu de conclure une capitulation.

 

Dans la soirée du 29 avril Hitler fit un mariage civil avec Eva Braun, avec pour témoins Bormann et Goebbels. Le couple se suicida vers 15 h 30, le 30 avril 1.945.

 

 

Déplacement de populations pendant la guerre 39/45 & après le conflit
Déplacement de populations pendant la guerre 39/45 & après le conflit

 

 

Les déportations à la fin de la guerre 39 / 45 n’évitèrent pas l’éclatement de la Tchécoslovaquie, de le Yougoslavie et la guerre Russo-ukrainienne, sans oublier les revendications d’autonomie, voir d’indépendances des Catalans, des Corses, des Basques, des Bretons, des Ecossais, et peut-être bientôt les minorités musulmanes de France ou d’ailleurs ! Et que dire du problème israélo-palestinien ? Je viens d’entendre à France-culture que des juifs ultra-ortodoxes font des interventions musclées afin de s’opposer à des mariages mixtes entre juifs et musulmans à l’image d’Hitler qui s’opposait aux mariages mixtes entre « ariens » et juifs ! Même si nous arrivons vers une désorganisation de l’économie mondiale et des affrontements divers, les marchands d’armes garderont un bel avenir devant eux. Et l’Union Européens subsistera-t-elle, rien n’est moins sur (.écrit au printemps 2022.). Quel attardé peut encore affirmer que les humains ne sont pas des bêtes sauvages ?

 

 

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Selon Lucilio Vanini  (.ou Giulio Cesare Vanini / 1.585 à 1.619.) « l’homme pourrait descendre des singes »

 

 

 

Paul D’Holbach a écrit :

 

« O homme, ne concevras-tu jamais que tu n’es qu’un éphémère » !

 

&

 

Le christianisme c’est « un tissu d’absurdités, de fables décousues, de dogmes insensés, de cérémonies puériles, de notions empruntées des Chaldéens, des Egyptiens, des Phéniciens, des Grecs et des Romains ».

Il rejoint de La Mettrie en affirmant qu’il n’y a pas de liberté puisque la pensé n’est qu’un aspect de la matière.

 

 

 

Pour  Emmanuel Kant le devoir moral est un principe universel valable pour tous les humains et en toutes circonstances, c’est pour cette Raison qu’il préconise le rigorisme au détriment du pragmatisme et il dénonce ceux qui font le bien par convenance et plus particulièrement ceux qui font le bien par intérêt – il penser ici à ceux qui font le bien dans l'unique espoir de parvenir au Paradis et non pour répandre le bien - ce qui n’a aucun sens moral. L’Eglise catholique portera Kant à l’Index !

 

 

Remarque de l’auteur :

Selon Kant un bon chrétien mène naturellement une vie honnête et humain. Socrate posa la question :

« Est-il plus avantageux de paraître juste que de l’être vraiment » ?

Kant semble répondre 2.200 ans plus tard au philosophe grec en affirmant que ceux qui font le bien par crainte de Dieu sont de mauvais chrétiens car ils réfrènent, ou réduisent au maximum leurs perversités et leurs actes répréhensibles uniquement par peur de l’enfer, hors se sont ces mauvais chrétiens qui ont du mal à contrôler leurs bas instincts qui prétendent à qui veulent les entendre, que l’athéisme est la porte ouverte à toutes les dérives, hors

les athées n’ont pas de leçons à recevoir de ces êtres immondes

prêts aux pires exactions, qu’ils soient chrétiens, musulmans ou judaïsants.

 


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Voir le rapport 2 013 de l'IHEU

«Freedom of Thought

Report 2013 »

 

Les athées sont exécutés dans 13 pays musulmans et discriminés partout dans le monde, y compris en Europe !

 

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A lire :

La construction de Jésus

De Bart Ehrman

 

aux éditions H & O

 


Chez le même éditeur voir les autres ouvrages sur les religions

 

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Editions H & O
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